It’s another rhythm of life at the Monastary. Caring for animals, working in the vegetable garden, learning the basics of permaculture—the Sisters here also aspire to share century-old experiences of learning about collective life with WWOOFers.

It’s another rhythm of life at the Monastary. Caring for animals, working in the vegetable garden, learning the basics of permaculture—the Sisters here also aspire to share century-old experiences of learning about collective life with WWOOFers.
« I was on my way to literally get up close and personal with some good old-fashioned dirt. I wanted to learn how to grow things: delicious, beautiful organic fruits and vegetables. So I headed to the south of France to spend three weeks working on an organic farm – because if you’re going to learn how to grow food, what better place is there than the south of France… »
« Avencurieux des hommes et des femmes qui font le monde de demain, mon itinéraire est ponctué d’escales de quelques jours à deux semaines pour rencontrer, découvrir et m’inspirer de projets de collectifs, m’émerveiller et me former à la permaculture humaine et aux pratiques agroécologiques par du WWoofing, des chantiers participatifs etc. Je ne demande qu’à être surpris ! »
« Je m’appelle Stéphane et je suis hôte depuis quelques temps. Le WWOOF, je trouve que c’est le début d’histoires pas ordinaires. Partager son quotidien est une démarche particulière. »
Je reçois un coup de fil de Manoel… « Avec ma femme et notre enfant, nous rêvons de créer un éco-lieu. Cela vous tente de passer ? » Ni une, ni deux, je traverse le Vercors direction Saint-Laurent… »
Kevin est photographe, aventurier, réalisateur, monteur, permaculteur… et il fait le tour de France des énergies positives avec le Permacooltour, collectif à vélo. En ce moment, il aide Chunyan et Manoel – ex joueur pro au XV de France – dans leur transition de vie. Convertir un terrain de 17 hectares en permaculture.
« Un jour, j’en ai eu marre que la beauté du monde s’éteigne sans rien y pouvoir. J’ai quitté ma banlieue, mon embryon de carrière, mon embryon de salaire, et je suis allé voir ailleurs si j’y étais. Et j’y suis toujours. Ça fait trois ans. Habiter et travailler dans une ferme, collective, décroissante, ce n’est pas simple, pas suffisant, parfois c’est dur, et même pénible. Mais je ne me suis jamais senti aussi libre, aussi vivant. »
Halte pour trois semaines de WWOOF à la Ferme d’un « oasis », le Hameau des Buis. Lui c’est Kevin à la photo, moi c’est Timothée jongleur de mots, deux des avencurieux du Permacooltour, notre collectif à vélo qui pédale à la rencontre de lieux inspirants.
Inspiré par trois mois de WWOOFing dans une ferme californienne (c’était « avant »), Jocelyn a prolongé l’expérience en France. Journal de WWOOF en photographies.
En Ariège, 25 adultes et enfants de cultures très diverses vivent ensemble avec 700 euros par personne grâce à la mutualisation. Mais il a fallu des outils pour réussir. Hôtes WWOOF, ils partagent les connaissances qu’ils expérimentent sur la vie en collectif. « Comme des chercheurs dans un esprit open-source ».
Un jardin punk ! C’est ainsi qu’Éric Lenoir, pépiniériste et hôte WWOOF définit son domaine bourguignon. L’écrivain jardinier, auteur du Petit traité du jardin punk, a créé un lieu beau, écolo, cultivé sans effort.