C’est tellement naturel qu’on ne s’en rendait plus compte. Mais 2 mois d’isolement auront mis à jour le secret du coeur à l’ouvrage. Stéphane, hôte en Bretagne raconte la satisfaction qu’il a eu à revoir des WWOOFeurs à ces côtés.

C’est tellement naturel qu’on ne s’en rendait plus compte. Mais 2 mois d’isolement auront mis à jour le secret du coeur à l’ouvrage. Stéphane, hôte en Bretagne raconte la satisfaction qu’il a eu à revoir des WWOOFeurs à ces côtés.
Caroline s’est déconfinée en WWOOFing. La limite des 100 km à la ronde lui a fait découvrir Le jardin de Michèle, une ferme WWOOF de son secteur. Quand, comme elle, on aime le local et les circuits-courts, avec un peu de créativité, on transforme vite cette limite en opportunité de rencontre.
Tout est bon dans le radis ! Excellentes en velouté, les fanes peuvent se préparer en pesto. De quoi nourrir de belles tablées ou à faire en quantité car le pesto se conserve à merveille pendant quelques jours.
Boucler son sac, c’est déjà se préparer pour l’aventure. Jean-Jacques Fasquel, WWOOFeur confirmé et auteur du livre « Carnets de WWOOFing », nous glisse quelques conseils avant le départ.
« Je suis un individu type de la génération Y (…) J’ai écrit la même lettre de motivation que les autres, et décroché le même stage que les autres, sur un fauteuil à roulettes, avec une souris dans la main… »
Membre de l’asso, Miranda vit à Nantes dans un appartement. Au moment du confinement, elle a choisi de rester en WWOOFing avec Nathalie, Stéphane et leur petite fille dans leur ferme de l’Allier. Au moment où la société s’interroge sur « le monde d’après », elle raconte comment cette situation lui permet d’expérimenter un autre type de vie… pas vraiment la pire.
Lorsque j’ai fait mon sac, direction la Haute-Savoie, j’ai enfilé une paire de bottes et laissé mes attentes derrière moi, prête pour l’aventure et la découverte. De nature curieuse et enthousiaste, j’avais choisi une façon concrète de découvrir la France – le pays où j’étudiais et dont j’étudiais la langue – tout en respectant mes convictions pour l’environnement : le WWOOFing. Depuis, mon diplôme en poche, j’ai poursuivi mon exploration jusqu’en Italie (en WWOOFing aussi!) où j’ai définitivement posé mes bagages… dans une ferme ! Dans cet article, je vous partage ma première expérience de WWOOFeuse en France, et le rôle qu’elle a joué dans ma vie.
Il a fait des études d’agriculture conventionnelle puis a travaillé quelques années comme cadre dans l’industrie agricole, avant de claquer la porte. Aujourd’hui, Anthony a 30 ans. Il fait du WWOOFing dans son département en vue de sa future installation en tant que maraîcher. Un moyen pour de faire connaissance avec le réseau de l’agriculture bio et surtout de se serrer les coudes.
Formé à l’agriculture, Guillaume a découvert la permaculture et a observé tout un tas de différentes pratiques au gré de ses séjours WWOOF.
Dans un village perché des Hautes-Alpes, Hugues-Mircea produit de l’osier biologique par conviction. Il partage ses techniques et savoir-faire avec les WWOOFeurs qui viennent l’aider à pratiquer un artisanat d’excellence.